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Médiathèque de la MSH Mondes

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Sujet est exactement femme
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  • Femme Taï Saï

    Femme Taï Saï de la région de Jiasa en train de broder un galon.
  • Femme Taï

    Femmes Taï utilisant un métier à tension dorsale (préfecture de Xixuangbanna).
  • Femme du groupe tibéto-birman Achang

    Femme du groupe tibéto-birman Achang (région de Tengshon, Baoshan) tissant une frise de jupe sur un métier à tension dorsale.
  • Femme Yi Nosu

    Chez les Yi Nosu de Ninglang, près du Szechuan, la coiffe, portée par les femmes mariées, qui vue dépliée par le dessus se présente comme un carré pris dans un cercle, rappelle le plan terrestre carré des Chinois couvert par le rond du plan céleste. La ligne de couture correspondant au front de la coiffe symbolise l’amont du fleuve Yangtzé au bord duquel vivent les Nosu. La coiffe sert également de cadran astrologique. Sur la base des huit lignes de couture qui divisent son plateau, on évalue le destin individuel des femmes et le degré d’entente de leur thème avec celui du conjoint.
  • Femme Jingpho

    Le costume cérémoniel des femmes Jingpho a lui aussi été retouché tant sur le plan des matériaux que des couleurs pour répondre aux canons esthétiques des instances culturelles de l’État chinois. Subsiste de l’ancien costume une lourde parure faite de globes ouvragés en étain ou en argent offerte par l’époux lors du mariage. Les globes représentent la lune. Ils sont complémentaires de larges disques plats figurant le soleil et cousus au dos. Ils portent aussi des motifs en relief représentant des oiseaux ou des fleurs avec bourgeons et fruits, symboles de beauté et de fécondité féminine.
  • Femme Lahu Na

    Femme Lahu Na du district de Lancang (préfecture de Simao). La tenue festive comprend une tunique dite « queue-de-pie », décorée sur les côtés de séries de losanges en appliqué. Ils symbolisent par l’alternance de couleurs Muni et Apa, le soleil et la lune et, plus fondamentalement, les principes masculin et féminin.
  • Femme Baï

    À partir du milieu des années 1980, le lac Dali devint une zone touristique très en vue. Les costumes Baï firent l’objet d’un processus de folklorisation et furent partiellement redessinés pour correspondre au goût des visiteurs qui en achetaient des versions simplifiées et bon marché. Nombre de femmes Baï employées dans le tourisme étaient astreintes au port de ce costume revisité qui devint progressivement la norme. Néanmoins, cette tenue a préservé l’essentiel des symboles dont les vêtements de jadis étaient le support. Ainsi la coiffe reste l’expression allégorique du paysage local : les fils de laine blancs qui ornent la partie supérieure de la coiffe représentent les sommets enneigés qui surplombent le lac. La mèche latérale de fils de laine symbolise le vent, par allusion à Chia Kuan, la « ville du vent », nom de la cité située au sud du lac.
  • Femme Baï

    Vieille femme Baï de la région du lac Dali, à 250 kilomètres à l’ouest de Kunming, la capitale du Yunnan. En dépit d’une sinisation profonde, les femmes de ce groupe portent au quotidien des tenues spécifiques qui les démarquent de la majorité Han.
  • Femme Taï Saï

    Le miroir peut servir de substitut protecteur à la vannerie « œil d’épervier » de la coiffe des femmes Taï Saï. Sa fonction est alors de réfléchir les influences néfastes. Certaines pièces du costume (chemises et ceintures) sont portées par trois, chiffre propitiatoire.
  • Femme Taï Saï

    Vieille femme Taï Saï d’un village proche de Jiasa (préfecture de Yuxi). Le chapeau en bambou tressé, recouvert de papier parafiné, comprend à l’intérieur une structure de vannerie en croisillon dit « œil d’épervier » qui protège les femmes mariées des forces maléfiques. Ce chapeau symbolise également les éléments les plus typiques du paysage « Taï Saï ». Le cône représente les montagnes, le liseré orange, le fleuve Rouge
  • Femme Taï Ya

    La coiffe cérémonielle des femmes Taï Ya, portée à partir de la puberté, requiert un montage savant de plusieurs éléments qui demande patience et temps.
  • Femmes Taï Ya

    Femmes Taï Ya de la région de Mosa, district de Xinping. Elles participent à un rite agraire, en tenue d’apparat. Le plateau de vannerie fixé à la coiffe leur sert alternativement d’éventail et de pare-soleil.
  • Femme du groupe Hmong

    Dans plusieurs groupes Hmong (ici chez les Hmong Noirs du district de Jinping), les femmes mariées portent des postiches faits de fils de laine pour augmenter le volume de leur chignon en couronne, symbole d’union et de fécondité.
  • Femme du groupe Hmong

    Femme du groupe Hmong « Fleuris » occupée à des travaux de broderie (Zhemi, district de Jinping, préfecture de Hekou).
  • Veuve Yao

    Tout comme les jeunes filles, les veuves portent chez les Yao « Têtes rouges » un turban noir, marque de leur non-droit à la sexualité. Les jeunes enfants sont parés d’une coiffe protectrice jusqu’à l’âge de cinq ans. Celle-ci représente toujours la trinité auspicieuse d’inspiration han:«nombreuse descendance— longévité– émoluments » sous la forme de cauris ou bien de pièces rondes en argent frappés des idéogrammes correspondants.
  • Femme Yao Mohong

    Après le mariage, les femmes Yao Mohong sont tenues de se raser la tête à intervalles réguliers afin de marquer leur statut marital. Elle arborent quotidiennement une coiffe conique rouge assimilée à un phallus. Celle-ci est prise dans un serre-tête métallique représentant le vagin. La conjonction de ces deux objets vaut comme allégorie de l’union féconde. Même symbolisme pour les boucles d’oreilles qui affectent la forme d’une flèche pénétrant un cercle.
  • Jeune fille Yao Mohong

    Région de Jinping (préfecture de Hekou). Jeune fille Yao Mohong (« Tête rouge ») reconnaissable par son turban, qu’elle porte seulement le jour du marché.
  • Femme Wa du district de Lancang

    Femme Wa du district de Lancang (préfecture de Simao) partant aux champs. Seules marques d’appartenance ethnique : ses parures (indices d’une femme mariée) et la pipe bourrée du tabac de montagne qu’affectionnent les hommes et les femmes de ce groupe à partir de la quarantaine.
  • Fragment d'autel et relief de tête féminine

    Fragment de minuscule autel votif à cornes, marbre. Relief de tête féminine, calcaire (décor interne du temple).